22 septembre : DÉVOTIONS

affiche_devocionesDans le cadre de la Saison 2014 de FAUBOURG BUENOS AIRES

Exposition – Conférence au TAC

Présentation du livre

DÉVOTIONS

Textes Luisa FUTORANSKY

Photographies José Antonio BERNI

VERNISSAGE Lundi 22 Septembre 2014 à partir de 19h30
CONFÉRENCE à 20h30

EXPOSITION jusqu’au 5 OCTOBRE 2014

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ENTRÉE LIBRE
Les auteurs feront les dédicaces après la conférence

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Entrevista a LUISA FUTORANSKY en RFI (español) (23:01)


La densité du mot DÉVOTIONS, chargé de merveilles et prodiges, nous suggéra peu à peu des images et des contrepoints. Nous dialoguons, narrons et chantons en duo depuis belle lurette, José Antonio Berni et moi. Ici, il n’est pas question de tenir un registre de festivités religieuses spectaculaires. Moins encore d’étaler des thèses socio-anthropologiques. Nous mettons à nu plutôt des trouvailles, parfois insolites, pêchées dans cet Olympe de fantômes et fantasmes miraculeux, parfois silencieux, parfois hurlants, que nous portons ou qui nous portent.

Luisa Futoransky

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Née à Buenos Aires en 1939, Luisa Futoransky est poétesse, romancière, essayiste, traductrice et journaliste. Après des études de musique au conservatoire, elle étudie la poésie anglo-saxonne avec J. L. Borges à l’Université de Buenos Aires. Elle écrit son premier recueil de poésie, Trago fuerte, en 1963 puis mène une vie centrée sur les arts et les voyages. En 1974, elle quitte l’Argentine pour vivre successivement en Espagne, en Italie, au Japon, en Chine et à Paris. Établie en France depuis 1981, elle est éditrice depuis 2008, pour la langue espagnole, de la revue Patrimoine mondial de l’Unesco. Ses écrits ont pour thèmes l’exil, la conquête permanente de la liberté, les traditions culturelles. Elle a publié en français chez Actes Sud Chinois, chinoiseries et Partir, te dis-je, en 1984, ainsi que Julia aux Éditions de l’Aube en 1990 et Lunes de miel, voyage dans la plus stricte intimité chez Belfond en 1995, traduit de l’espagnol par Louis Soler.

José Berni fait des photos depuis ses quinze ans, c’est à dire après 1968. Il abondait dans la reproduction d’art. Â côté, pendant des années, il a fait collection de prises banales qui semblaient disposées exprès pour cela : on pourrait les appeler « situations trouvées » en paraphrasant Duchamp. Objets ou acteurs rangés par eux-mêmes de façon esthétique ou signifiante.

Il a une maitrise de Lettres Classiques. Il a habité souvent une exploitation agricole en Argentine où il a vécu et photographié la ruralité. Il a longtemps résidé en France et en Espagne. Il a fait des expositions personnelles en institutions, musées et galéries d’art à Paris, Madrid et Buenos Aires.

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Renseignements et réservations auprès de l’association

LE CHANT DES HOMMES
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